Sans équivoque, après une pseudo consultation durant l’été, le gouvernement, approuvé par le MEDEF, applique la feuille de route du président Macron.
Sous sa prétention de nouveauté, ce président et sa majorité appliquent de vieilles recettes libérales éculées : accentuation de la précarité, flexibilité des emplois, des horaires, des rémunérations et remise en cause des droits acquis par les salariés. Non, les droits collectifs ne sont pas responsables du chômage !
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